Welchen Herausforderungen sehen sich Journalistinnen bei der Berichterstattung aus dem Exil und aus Krisengebieten gegenüber? Darüber tauschten sich 17 Journalistinnen bei einem mehrtägigen Workshop der Stiftung Entwicklungs-Zusammenarbeit Baden-Württemberg (SEZ) aus.
Die Teilnehmerinnen kamen aus Burundi, Tunesien und Deutschland. Aus eigener Erfahrung berichteten sie über ihre Erfahrungen als Journalistinnen, aber auch über die Folgen, die die Corona-Pandemie für sie als Frauen in ihrem Tätigkeitsbereich hat. Weitere zentrale Fragen waren Menschenrechte und Sexismus. Eingeschränkte oder gar fehlende Presse- und Meinungsfreiheit war als ganz konkrete Herausforderung während des gesamten Workshops ein Thema. Einige der Teilnehmerinnen befanden sich in entsprechenden Situationen.
Aufgrund der Covid-19-Pandemie fand der Workshop digital statt. Trotz der dadurch vorhandenen Einschränkungen konnten sich die Journalistinnen untereinander vernetzen, was einen weiteren Erfahrungsaustausch ermöglicht. Dass hier Bedarf besteht, wurde bei dem Workshop sehr schnell deutlich.
Version en français
FEMMES JOURNALISTES, EXIL ET ZONES DE CRISES
QUELS SONT LES DÉFIS AUXQUELS LES FEMMES JOURNALISTES SONT CONFRONTÉES LORSQU’ELLES FONT DES REPORTAGES DANS LES ZONES DE CRISES ET EN EXIL? DIX SEPT FEMMES JOURNALISTES ONT ÉCHANGÉ LEURS POINTS DE VUE SUR CES QUESTIONS LORS D’UN ATELIER ORGANISÉ PENDANT PLUSIEURS JOURS PAR LA FONDATION “ENTWICKLUNGS-ZUSAMMENARBEIT BADEN-WÜRTTEMBERG” (SEZ).
Les participantes étaient de Burundi, de la Tunisie et de l’Allemagne. Elles ont fait part de leurs expériences de journalistes ainsi que l’impact des conséquences de la pandémie de Covid-19 qui les ont influencées en tant que femmes dans leur domaine de travail. Notons que les droits de l’homme et le sexisme étaient d’autres questions centrales. En outre, la liberté de la presse et la liberté d’opinion restreintes, voire inexistantes, ont constitué aussi un défi très concret tout au long de l’atelier. Certaines participantes se sont retrouvées dans des situations correspondantes.
En raison de la pandémie de Covid-19, l’atelier s’est tenu sous forme numérique. En dépit des restrictions imposées, les journalistes ont pu quand même se mettre en réseau, ce qui a permis un échange d’expériences plus enrichissant. Il est à souligner que la nécessité de ce projet est pertinente, cela était bien évident au cours des ateliers.